l'Escale, pl. de la Mairie, Tournefeuille
En partenariat avec
l'Escale
Je Hurle
Scolaires : mer. 20 avril 14h30
Mercredi 20 avril
20h30
Durée : 1h
Dès 14 ans
la Soupe Cie (Grand-Est)
Tel : 05 62 13 60 30
Distribution :
Mise en scène : Eric Domenicone
Jeu : Faustine Lancel, Yseult Welschinger
Musique sur scène : Jérôme Fohrer
Accompagnement dramaturgique : Magali Mougel
Scénographie : Antonin Bouvret
Marionnettes : Yseult Welschinger
Témoignages : Najiba Sharif
Vidéo : Sophie Langevin
Création lumière : Chris Caridi
Régie lumière : Maxime Scherrer
Régie son Dimitri Oukkal
Costumes : Blandine Gustin
Production & diffusion : Babette Gatt
Coproduction : Le Sablier, Scène conventionnée à Ifs et Dives-sur-Mer / L’Hectare scène conventionnée de Vendôme / Réseau BERENICE : Festival Passages à Metz / Théâtre de Trèves (Allemagne) / Centre Culturel Alter Schlachthof d’Eupen (Belgique) / La Méridienne scène conventionnée de Lunéville / La Passerelle de Rixheim / Centre Pablo Picasso scène conventionnée de Homécourt
Avec le soutien de : l’Institut International de la Marionnette de Charleville Mézières (aide financière à l’insertion professionnelle des jeunes dipômé.e.s) / TAPS – Théâtre Actuel et Public de Strasbourg / Agence Culturelle Grand Est / Festival Les Vagamondes – Scène Nationale La Filature Mulhouse (68) / Relais Culturel de Thann/Cernay
Soutien : financier à la création DRAC Grand Est / Région Grand Est (conventionnement 2017-2019) / Ville de Strasbourg / FEDER – programme INTERREG /SPEDIDAM
Liens institutions France et Afghanistan : Milena Schwarze
Crédit photo : © Baptiste Cogitore
La fureur d'écrire
"Je Hurle" est un cri poétique, une bataille.
En Afghanistan, Zarmina, 15 ans, met fin à ses jours parce qu’on lui a interdit d’écrire.
Mené comme une enquête sur le destin tragique et révoltant d’une adolescente, "Je Hurle" compile poèmes, témoignages et articles de presse pour faire entendre l’insoumission des poétesses afghanes.
Le papier, matière brute manipulée par les comédiennes, porte sur scène la blessure des êtres comme l’indéfectible force de l’espoir.
Le musicien mêle les accents de sa contrebasse aux sons contemporains et aux voix des poétesses afghanes enregistrées clandestinement depuis Kaboul.
La poésie pachtoune est une poésie urgente et brûlante. Elle clame la condition des femmes qui tentent sans relâche de se mettre debout.
Un spectacle poignant entre finesse et coup de poing.